Quelqu'un ?

Phaëlya était dans un sale état, son T-shirt blanc était déchiré de part en part et ses chaussures n’étaient plus qu’un souvenir, sans parler de son jean. Ses longs cheveux noirs étaient complètement emmêlés. Son visage ,ses mains et ses jambes étaient couverts de poussière en dehors de deux sillons plus clairs sur ses joues … Elle fut aussitôt prise d’une certaine appréhension allait-on l’accepter dans cet état où elle était ? Elle était fatiguée de ce long voyage, épuisée …Par chance le temps était au beau fixe ; le soleil brillait de toutes ses forces à travers quelques timides petits nuages et une légère brise animait les feuilles des arbres… Elle se rapprocha de la grille et voyant qu’elle était ouverte, elle entra. Devant elle se trouvait une grande bâtisse entourée d’arbres et à laquelle on accédait par quelques marches en marbre elle fut soudain prise d’un implacable tremblement, le ciel se mit alors a tourner elle dû s’accrocher a la grille pour ne pas tomber ;
*J’aurais sérieusement besoin de dormir moi …*
- Owh
Elle se laissa tomber sur le sol et ferma les yeux quelques instants .Lorsqu’elle se sentit mieux et qu’elle le pu elle se releva et chercha des yeux si il y avait quelqu’un …

Simon marchait pensivement ne pensant a Keiko. Il se posta en haut de l'escalier et s'appuya cotnre la rembarde, pensif. Il vit alors une jeune femme vetu de vetement apparamment sale et déchiré entrer dans le pensionnat. Elle tourna sur elle même quelque seconde et tomba au sol. Simon descendit rapidement les escaliers pour voir ce qu'elle avait? Heureusement celle ci se réveilla. Elle semblait terriblement fatigué. Simon alla vers un distributeur de boisson, prit une canette et alla vers la jeune femme en lui tendant celui ci:

" Buvez moi ca, ca devrait vous redonnez un peu de force."

Meïra était à peine sorti de la salle commune que Vincent s'élança dans le hall à toute vitesse. Elle referma la porte de la salle et avança en direction du grand escalier, sa canne toucha alors les pieds de quelqu'un.

" Je suis désolé de vous avoir bousculé . "

Meïra regardait droit devant elle pensant que la personne qu'elle venait de heurter était debout, elle tourna un peu la tête en direction des respiration bruyante de son chien.

" Vincent viens ici ! "

Elle sortit la laisse rouge de sa poche et se baissa lorsqu'il fut devant elle. Elle chercha à taton la boucle du collier et l'attacha, puis elle se releva et se rendit compte qu'elle ne s'était toujours pas presenté.

" Je suis Meïra Rodriguez, et vous ? "

Elle n'arrivait pas vraiment à savoir s'il y avait plusieurs personnes, son chien faisait decidement trop de bruit.

Elle aperçu soudain, accoudé a la rambarde, un jeune homme très pâle, entièrement vêtu de noir. Il eût l’air surprit et revint avec quelque chose en main.
- Buvez ça, ça devrait vous redonner un peu de force.
Elle prit la canette qu’il lui tendait et bu avidement son contenu.
- M … Merci beaucoup ! Comment vous appelez vous ?
C’est alors qu’un énorme chien déboula et derrière lui sa maîtresse, une jeune femme assez grande aux cheveux bruns roux, aveugle apparemment.
- Vincent vient ici !
Elle le rattrapa et lui passa une laisse rouge.
- Je suis Meïra Rodrigez et vous ?
- Vous pouvez me tutoyer vous savez … Je m’appelle Phaëlya Moyers ;je viens d’arriver et je cherchais quelqu’un qui puisse m’aider …

" Je suis Meïra Rodrigez et vous ?

- Vous pouvez me tutoyer vous savez … Je m’appelle Phaëlya Moyers ;je viens d’arriver et je cherchais quelqu’un qui puisse m’aider …

- Enchanté et bienvenue! Je pensais que tu étais avec quelqu'un c'est pour ça que j'ai dit vous. Mon chien fait trop de bruit quand il respire, j'ai du mal à savoir combien il y a de personne dans une piece en ce moment. "

Meira donna un petit coup sur la laisse de Vince qui essayait de s'éloigner. Il se colla à sa jambe pendant un instant puis se remit à renifler un peu plus loin, cherchant toujours à s'éloigner d'elle.
Elle n'avait toujours pas perçu la presence de Simon, mais vincent lui ne cessait de vouloir s'en approcher et les petits coups de laisse de Meira lui donnait d'autant plus envie d'y aller.

Simon se posta assez près de la nouvelle arrivante, fit passer sa main devant ses yeux puis se decida a repondre:

" il y a bien une deuxième personne, je me nomme Simon faust, mais je n'ai jamais eu le plaisir de vous connaitre toute les deux. Enchantée."

* Elle doit être aveugle celle la, mais comment elle est venue ici... tiens c'est quoi ce souffle près de ma jambe... oh c'est un chien... UN CHIEN?! KYA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!*

Simon eut un cri de joie et se mit a regarder le chien tendrement. Un chien d'aveugle vu quecelui ci n'arretait pas de le renifler. Il passa sa main sur son pelage puis se releva en s'excusant l'air géné:

" Veuillez m'excuser."

" Je suis Meïra Rodrigez et vous ?

- Vous pouvez me tutoyer vous savez … Je m’appelle Phaëlya Moyers ;je viens d’arriver et je cherchais quelqu’un qui puisse m’aider …

- Enchanté et bienvenue! Je pensais que tu étais avec quelqu'un c'est pour ça que j'ai dit vous. Mon chien fait trop de bruit quand il respire, j'ai du mal à savoir combien il y a de personne dans une piece en ce moment. "

Vincent était vraiment trop nerveux, il ne cessait de vouloir s'éloigner. Puis Meira eut la sensation qu'on lui passait quelque chose devant le visage.

" il y a bien une deuxième personne, je me nomme Simon faust, mais je n'ai jamais eu le plaisir de vous connaitre toute les deux. Enchantée.

- Moi de même, Simon ! "

C'était donc ça! Il verifiait si elle était aveugle, une simple question aurait suffit, pensait il vraiment qu'elle ne percevait rien. ce garçon était vraiment étrange, il avait poussé un hurlement en se rendant compte de la presence de Vincent, qui soi dit en passant ne passer pas inaperçu. ce fut si inattendu que cela avait fait sursauté Meira.

" Veuillez m'excuser."

Sa voix montrait une certaine gêne, il ne s'attendait pas lui même à avoir ce genre de réaction apparement. Meira lui sourit gentillement.

* Vraiment étrange ! *

" Il est trop mimi!!!!!!!!!!!!!!! "

Simon se mit a caresser le chien avec un grand sourire. Il le grattait sous le collier puis s'amusait a le faire rouler par terre en lui grattant le ventre. Simon souriait etrangement, il paraissait heureux, pourtant ce n'était qu'un chien qu'il avait connu il y avait a peine une minute. Simon se releva avec un sourire et demande gentiment:

" Comment s'apelle votre chien?"

" Il est trop mimi!!!!!!!!!!!!!!! "

Meira l'entendit caresser le chien sous le collier qui faisait un petit tintement metallique. Elle sentit Vinvent se baisser, il avait du se mettre sur le dos pour que simon puisse le caresser à son aise, comme il le faisait avec elle. Ce chien était désesperant! D'une voix chaleureuse il lui demanda :

" Comment s'apelle votre chien ?

- Vincent ! Mais on peut se tutoyer, ça sera plus sympa. "

Meira trouvait ce jeune homme amusant, Simon avait l'air de quelqu'un de plutot joyeux et puis Vincent l'aimait apparement. Meira se dit que Vincent n'était peut-être pas une référence, il aimait tout le monde.

" Vincent? C'est un très jolie nom. T'entend mon toutou, toi au moins on t'apelle pas chocolat."

Simon eut un sourire et était persuadée que le chien aussi, celui ciparaissait joyeux et s'était assis pour observer l'autre jeune femme. Simon la regarda avec un sourire. il se demandait ce que faisait cette jeune femme ici, elle paraissait fatigué et bléssé.

" Vous ne voudriez pas aller a l'infermerie, car vu votre etat, vous risquez de defaillir. Comment vous êtes vous fait ca."

* Elle s'est battue ou quoi? *

Phaëlya avait fermé les yeux … Elle entendait a peine les deux autres personnes en train de parler … Elle se sentait légèrement a la dérive …
*Je dois dormir …*
Elle entrouvrit les yeux … Elle vit un énorme chien qui la regardait … Elle tendit sa main il s’en approcha et commença à la sentir …
" Vous ne voudriez pas aller à l'infirmerie, car vu votre état, vous risquez de défaillir. Comment vous êtes vous fait ça."
Comment elle s’était fait ça … Elle hésitait à expliquer pourquoi elle était ainsi … Mais ils avait l’air sympas … Il la regardait en souriant …
-Disons que ça fait longtemps que je n’ai pas eu de foyer … Je veux bien aller a l’infirmerie, si vous avez l’amabilité de m’y conduire je …
Sa vision se troubla elle tomba sur les genoux …
-Excusez moi …

* Non mais je rève, on dirait qu'elle va s'evanouir.*

Simon se rapprocha de la jeune femme, posa sa main sur son front et sentit la faible chaleur qui y emanait. elle avait de la fièvre, ses yeux étaient tirés et elle respirait faiblement. Simon eut un regard inquiet et regarda Meira. Il avait besoin d'elle malgré son handicap.

" Meira, tu pourrais m'aider a la porter?"

" Vous ne voudriez pas aller à l'infirmerie, car vu votre état, vous risquez de défaillir. Comment vous êtes vous fait ça.

-Disons que ça fait longtemps que je n’ai pas eu de foyer … Je veux bien aller a l’infirmerie, si vous avez l’amabilité de m’y conduire je …"

Meira n'en croyait pas ses oreilles, cette fille était à la rue, elle demandait depuis combien de temps cela durait et surtout combien de temps aurait elle pu encore tenir. Simon avait raison elle devait aller à l'infirmerie, c'est dans ces moments là qu'elle aurait voulu voir. Ca devait être une évidence pour Simon que cette fille n'allait pas bien.

" Meira, tu pourrais m'aider a la porter?

- Bien entendu, il faut juste que tu m'amène à elle."

Meira detacha Vincent et mis la laisse autours de sa taille et tendis la main pour que Simon la conduise jusqu'à Phaëlya.

Simon prit la main de meira et constata que celle ci était froide et douce. Il eut un petit fremissement puis approcha meira de Phaëla. Il conduisit les mains de meira ver l'une de ses epaules tandis que lui prenait l'autre. Il constata que la peau était desydraté et qu'elle était tiré. Simon eut un regard horrfié et fit signe a phaëla de se laisser faire. Une ofis qu'il prit son bras, il demanda meira de faire de même.

" Prend lui doucement l'épaule, on va la soutenir pour l'emmener a linfirmerie. Utilise ton chien pour te guider, je nous conduirais."

Simon avait la main chaude, il la conduisit juqu'à une des épaule de Phaëlya. Simon la lacha certainement pour se mettre de l'autre coté afin de la soutenir correctement.

" Prend lui doucement l'épaule, on va la soutenir pour l'emmener a linfirmerie. Utilise ton chien pour te guider, je nous conduirais."

Et elle mit le bras de la jeune fille autours de son cou aussi délicatement que possible.

" Il vaut mieux que je suive juste le mouvement vincent rique de me gêner plus qu'autre chose. "

Avoir son chien qui s'agite dans tout les sens et qui n'aurait de cesse d'aller vers Simon, elle ne comprenait pas pourquoi mais il était attiré par lui plus que n'importe qui d'autre. Meïra attendait qu'il se mette en marche

" Previens moi juste lorsque l'on doit tourner pour éviter de lui faire mal, ok? "

" D'accord. Bon allons y doucement, vincent calme toi s'il te plait."

Le chien ne semblait ne pas comprendre la situation vu qu'il continuait a tourner autour de nous trois. Lorsque nous nous mirent a marcher, le chien vit la difficulté et devint plus sage, arrétant de courir. Simon tenait fermement phaëra. Il esperait que celle ci n'alait pas plus mal que son imagination debordante pouvait imaginer. Il se connaissait, il imaginait toujour le pire.

* Il me reste plus qu'a esperer.*

Phaëlya se sentit soulevée du sol … Elle se demanda vaguement ce qu’il se passait … Puis elle prit conscience de la réalité … Les deux personnes la portaient; elle avait donc perdu connaissance ? Elle voulut faire un geste pour les arrêter et leur dire qu’elle pourrait marcher seule mais elle était a bout de forces …Elle se sentait gênée de toute l’attention qu’on lui portait … Elle n’avait plus l’habitude … Ses pensées ne se suivaient plus du tout, elle ne parvenait plus a rester concentrée sur quelque chose.
*Mais qu’est ce que j’ai ? Je me sens mal … Ca va passer, ça va passer …*
Mais ça ne passait pas … Elle se sentait fiévreuse sa peau saignait par endroits elle le sentait maintenant.
*Je … Owh il faut que je me ressaisisse …*
Elle essaya de bouger le bras sans succès.
*Mais qu’est ce que j’ai ? Il faudra que je les remercie …*
Elle pensa à leur gentillesse avant de sombrer a nouveau dans l’inconscience …