Chambre numero1: Keiko Yagami, Meïra Rodriguez

[excuse moi d'ouvrir le topic de ta chambre mais vu que mon perso va devant, et puis comme ca il sera fait]

Simon avait couru pour réussir a trouver la chambre de Keiko, après une bonne demi-heure, il trouva enfin les chambres. Il alla vers la première en supposant que si Keiko était la première fille a être ici, elle aurait pris la première hcambre.. Il se posta devant elle et frappa timidement la porte en esperant qu'elle serait la sinon il aurait l'air bête a frapper une chambre vide de toute vie:

" Keiko tu es la, c'est simon! Je voudrais te parler."

[dsl du temps de réponse, j'ai qqs problèmes avec internet ces temps-ci... sinon pour l'ouverture du topic, y a pas de problème]

Keiko était dans sa chambre, couchée tranquillement sur son lit, un magazine quelconque devant les yeux... A vrai dire, elle s'ennuyait. Cependant, elle ne voulait pas aller déranger le peu de personne qui résidait dans le pensionnat. En réalité, ses connaissance se résumait à quattre personnes :
- son père, qui devait surement dormir sur son bureau, bavant sur la montagne de paperasse dont il devait s'occuper,
- son frère qu'elle détestait donc il ne fallait même pas y penser,
- Drake, l'odieux petit personnage qui avait dragué son père,
- Simon. Lui elle l'aimait bien, cependant il était dans la même chambre que son frère et elle ne voulait pas tomber sur lui lorsqu'elle frapperait à sa porte.

En conclusion, elle resta dans sa chambre à se morfondre toute seule quand soudain on frappa doucement à sa porte...

" Keiko tu es la, c'est simon! Je voudrais te parler."

Le visage de la jeune fille s'éclaira. Quand on parle du loup... Elle ferma son magazine et s'assit sur son lit.

- Entre !

" Excuse moi de te deranger mais il faudrait que je te parle d'une personne que tu connais certainement."

* Et acessoirement te voir... ah mais a quoi je pense moi!*

J'entrais dans la chambre et vit Keiko assit sur son lit. Je fermais la porte et m'approchais d'elle, je decidais de m'assoir sur le lit même si elle ne m'en avait pas donné l'autorisation. C'était mon coté sans gêne qui ressortait. J'inspirais profondément.

" Je suis venu te voir pour deux raisons, la première va certainement te facher ou te rendre tendu mais... il s'agit de Drake, je ne suis pas la pour te dire que tu as mal ragi ou quoi que ce soit, au contraire. Mais je pense que c'est une personne bien, qui a envie d'être aimer, et c'est se que ton pe... le directeur le lui a donner, je sais que ca doit être derengeant de voir ton père avec quelqu'un, qui plus est un homme, vu que vous ne semblez plus avoir de mère... Mais Drake n'est pas quelqu'un de mauvais... il est juste pertubé. Attend un peu, qu'st ce que tu as eu au bras."

Il me semblait voir un bandage sur l'un des bras de Keiko, comment c'était-elle fait cela, cela ne faisait pas si longtemp que je ne l'avais pas revu et elle n'avait pas ce bandage. D'ailleur il faisait nuit maintenant.

[Petit rappel : à la troisième personne du singulier les actions ^^ merci]

" Excuse moi de te deranger mais il faudrait que je te parle d'une personne que tu connais certainement."

Le jeune homme venait d'aiguiser la curiosité de Keiko. Il entra dans la chambre et referma la porte derrière lui avant de s'installer sur le lit, à côté d'elle.

*Fais comme chez toi...*

Non pas que ce geste l'ai énervée, elle toruvait ça plutôt amusant. Keiko s'install plus confortablement, puis, une fois prête :

- Je t'écoute ^^

Simon inspira profondément et commença :

" Je suis venu te voir pour deux raisons, la première va certainement te facher ou te rendre tendue mais..."

*Mauvais présage... Ne me dis pas qu'il va parler de...*

"Il s'agit de Drake..."

*Dans le mille*

"je ne suis pas là pour te dire que tu as mal réagi ou quoi que ce soit, au contraire. Mais je pense que c'est une personne bien, qui a envie d'être aimer, et c'est ce que ton pè... le directeur le lui a donné"

*Qu'est-ce qu'il me fait là, la morale ? Il peut se la mettre là où je pense, p****** !*

"je sais que ca doit être derengeant de voir ton père avec quelqu'un, qui plus est un homme, vu que vous ne semblez plus avoir de mère..."

*Un peu que c'était dérangeant ! Carrément humiliant tu veux dire !!*

"Mais Drake n'est pas quelqu'un de mauvais... il est juste pertubé."

*"Perturbé", rien que ça ! Complêtement cinglé oui !*

Elle n'oublierait jamais le coup qui l'a mise KO durant quelques secondes, humiliation qui lui collait à la peau comme un vieux chewing gum à sa semelle.

"Attend un peu, qu'est ce que tu as eu au bras ?"

*Tiens, il change de sujet ? ça vaut sans doute mieux pour lui...*

Keiko regarda furtivement son bras gauche recouvert d'un bandage au niveau de l'épaule. Elle haussa les épaules.

- Oh rien, je me suis éraflé, ce n'est pas grave.

Un temps de silence. Elle ne voulait pas dire plus, elle ne voulait pas parler, enfin si, mais pas parler de Lui. Et pourtant Simon allait surement revenir sur le sujet, c'était inévitable... Alors autant mettre les choses au claire !

- A propos de Lui, qu'il ne s'approche pas de moi, ça vaudra mieux pour nous deux, je ferai pareil d'ailleurs. Moins je le verai, mieux je me porterai.

Tiens, ça lui rappelait quelque chose, cette phrase... Ah oui, elle avait dit exactement la même chose à propos de Koyuki...

Décidément, elle avait l'air de détester plus de monde que d'en aimer dans ce pensionnat... Elle soupira.

[ Désolé, la force de l'habitude sur les autre fofo]

Simon regarda Keiko puis soupira, il posa son chapeau noir, passa sa main sur ses cheveux noir avant de se craquer les doigt, signe de sa gène. Finalement, plus il repensait a cette situation, plus il sentait quelque chose monté en lui. Lorsque que Keiko lui donna sa réponse, il sut alors ce que c'était, de l'hilarité, il sem it a rire joyeusement:

" Ahahah, excuse moi mais je m'y attendais, c'est juste que j'arrète pas de vous imaginer tous les deux en train de vous disputer et ca me fait rire, deux force de caractère qui s'engeule, c'est... ahahah... ouh excuse moi, vraiment, je sais même pas si c'est une raison pour rire de la sorte mais... ouh! Ah ca va mieux. D'accord je lui dirais, après tout, j'ai pas envie d'aggraver les choses."

Simon se calma puis regarda Keiko avec un sourire bizarre, elle était incroyable, tant de dynamisme lui donnait lui aussi envie de bouger. Puis il la regarda et prononca plus doucement:

" Et la deuxième raison, c'est que... j'avais envie de te revoir. En fait je me demande si je ne me suis pas servi de cette historie comme pretexte... excuse moi."

[Pas de poblème ^^]

Simon soupira. Avait-il compris qu'il était inutile de discutter davantage sur le sujet ? Keiko n'avait pas l'intention de faire la paix avec Lui et encore moins d'aller lui parler.

La jeune fille suivit chaque mouvement de Simon, complêtement hypnotysée. Il enleva son chapeau, passa une main dans ses cheveux et fit craquer ses doigts tandis que Keiko esquissait une petite grimace. Elle détestait ce genre de tic. Puis se reprit. Elle secoua la tête pour chasser ses pensées et répondit à Simon :

- A propos de Lui, qu'il ne s'approche pas de moi, ça vaudra mieux pour nous deux, je ferai pareil d'ailleurs. Moins je le verai, mieux je me porterai.

Pour toute réponse, Simon se mit à rire. Keiko le regarda, incrédule. ça le faisait rire ???

" Ahahah, excuse moi mais je m'y attendais, c'est juste que j'arrète pas de vous imaginer tous les deux en train de vous disputer et ca me fait rire, deux force de caractère qui s'engeule, c'est... ahahah... ouh excuse moi, vraiment, je sais même pas si c'est une raison pour rire de la sorte mais... ouh! Ah ca va mieux. D'accord je lui dirais, après tout, j'ai pas envie d'aggraver les choses."

Keiko gromela entre ses dents puis jetta un coussin sur la tête de Simon.

Simon eut l'air de se calmer et sourit bizarrement.

*Qu'est-ce qu'il y a encore ?*

Sur la défensive, elle attendit que Simon prenne la parole. Celui-ci ne se fit pas attendre. Doucement, il lui dit :

" Et la deuxième raison, c'est que... j'avais envie de te revoir. En fait je me demande si je ne me suis pas servi de cette historie comme pretexte... excuse moi."

Keiko sentit son estomac se contracter alors qu'elle était incapable de bouger ou de pronocer la moindre parole. Elle ne s'attendait pas du tout à ce genre de réponse mais alors pas du tout !

*Réagis, dis quelque chose !!! KEIKO !*

Elle secoua la tête, sourit et embrassa Simon sur la joue.

- Tu n'avais pas besoin de prétexte pour venir me voir, tu viens ici quand tu veux, la porte n'est jamais fermée.

Elle se coucha sur son lit. Un prétexte pour venir la voir, hein ?

Simon eut un brusque sursaut en sentant keiko lui faire un baisé sur la joue. Il eut un sourire puis regarda Keiko s'allonger sur le lit. Il eut un rougissement, il pouvait voir ses long cheveux dépliées s'etendre sur son lit.

" Disons juste que le dortoir des filles ets deconseillé pour les hommes. Mais si tu le dis, je viendrai tous les 6 heures du matin pour te reveiller en sursaut, ahah.^^"

Simon la regarda puis lui demanda quelque chose avec un air taquin:

" Dis donc, c'est moi ou tu avait l'air géné quand je t'ai dit la deuxième raison de ma venue? Tu n'as pas l'habitude que des gens viennent te voir? C'est dommage."

Keiko sentit le sursaut de Simon lorsqu'elle l'embrassa sur la joue.

*Bien fait pour lui. Petite vengeance par rapport à sa moquerie de tout à l'heure*

Keiko s'allongea sur le lit, ses cheveux défaits éparpillés tout autour de sa tête. Elle contempla le plafond et ne vit pas Simon rougir.

" Disons juste que le dortoir des filles ets deconseillé pour les hommes. Mais si tu le dis, je viendrai tous les 6 heures du matin pour te reveiller en sursaut, ahah.^^"

Keiko chercha un second coussin pour lui jetter à la figure mais aucun projectil n'était à sa portée. Elle lui tira juste la langue.

- Essaye et tu feras connaissance avec ma très bonne humeur du matin lorsqu'on me réveille trop tôt.

S'il osait, il le regretterait... Elle imaginait déjà la course poursuite dans tout le pensionnat, un balais à la main en essayant de frapper la tête de Simon et en criant pour réveiller tout le monde.

Keiko sentit le regard de Simon sur elle, elle lui rendit son regard et il demanda :

" Dis donc, c'est moi ou tu avait l'air géné quand je t'ai dit la deuxième raison de ma venue? Tu n'as pas l'habitude que des gens viennent te voir? C'est dommage."

Le rouge lui monta aux joues. Elle se retourna, de façon à être dos à Simon pour qu'il ne voit pas sa gêne.

- Tu as du rêver... mentit-elle.

" Dans ce cas, j'ai du faire beaucoup de reve. Allons arrète de mentir, ca se voit que tu rougis,[mode Kya /on] ah t'es mignonne!!!!!!! [mode Kya /off] Allons arrète de faire semblant, je sais que tu t'es sent un peut seul, tu vas pas me faire croire que tu refusserais un peu de compagnie."

Simon eut un regard bienvailant avant de s'allonger a coté d'elle, ses cheveux noir était eparpillés avec ceux de keiko, ses yeux rouge semblait sommeiller. Il eut encore un soupir et se tourna vers Keiko.

" Le sourire te va tellement mieux..."

" Dans ce cas, j'ai du faire beaucoup de reve. Allons arrète de mentir, ca se voit que tu rougis,[mode Kya /on] ah t'es mignonne!!!!!!! [mode Kya /off] Allons arrète de faire semblant, je sais que tu t'es sent un peut seul, tu vas pas me faire croire que tu refusserais un peu de compagnie."

Keiko se serra en boule. Mignonne ou pas, rien à faire ! Il pouvait se les garder ses complments... Même si ça faisait toujours plaisir...

Keiko sentit Simon s'allonger lui aussi, près d'elle. Elle l'entendit derrière elle lui dire dans un soupir.

" Le sourire te va tellement mieux..."

Keiko sourit machinalement. Simon n'auvait pas pu le voir étant donné qu'elle lui tournait le dos.

Il était tout de même gentil, Simon. Et il avait raison. Cela ne servait à rien de mentir ou de faire semblant. Elle se retourna pour être face à lui et lui sourit en posant une main sur sa joue.

- Merci... murmura-t-elle.

Le regard de simon s'adoucit puis il eut un petit rougissement et regarda ailleurs, il avait du mal a regarder les gens dans les yeux, surtout elle. Il repondit doucement, toujour en regardant ailleur, il avait peur de se mettre a rougir encore plus:

" Tu ne devrais pas me remercier pour dire la vérité. Je sais que va te paraitre de belle parole mais c'est ce qui est... C'est bizarre... ta main est très douce, ou c'est moi qui rève encore, hihi."

Simon eut un petit rire avant de lever les yeux et de regarder Keiko dans les siens. Ma main se mit a prendre la sienne.

Lorsque Keiko posa sa main sur la joue de Simon en le remrciant, elle sentit le regard du jeune homme s'adoucir et remarqua un joli petit rougissement teinter ses joues pâles. Simon avait dû le remarquer car il détourna aussitôt les yeux, gêné sans doute.

" Tu ne devrais pas me remercier pour dire la vérité. Je sais que ça va te paraitre de belles paroles mais c'est ce qui est... C'est bizarre... ta main est très douce, ou c'est moi qui rève encore, hihi."

Tandis que Simon parlait, la main de Keiko était restée sur la joue du beau ténébreux. Elle ne s'en était pas rendue compte jusqu'au moment où il fit la remarque. La jeune fille rougit et voulut retirer sa main mais Simon la prit avant dans la sienne.

Il se regardèrent longtemps dans les yeux, couchés l'un près de l'autre, main dans la main. Le temps paraissait être suspendu, arrêté... Puis Keiko rompit le charme. Elle sourit et se redressa sur son lit. Sa main était toujours dans celle de Simon. Elle n'osait pas l'enlever... ou alors elle ne voulait pas l'enlever ? Elle ne savait pas, elle ne savait plus.

*Oh et puis zut !*

Foutues questions. Pourquoi venaient-elles toujours au moment où on les voulait le moins. Doutes, incertitudes,... toujours là pour gâcher les meilleurs moments.

Indécise, elle resta là, assise sur son lit, attendant elle ne savait quoi au juste. Quelque chose.

Simon eut un petit sourire ne voyant Keiko se redresser, elle semblait douter, comme lu. En fait si elle ne l'aurait pas fait fait, il l'aurait fait a sa place. Simon se releva a son tour sauf qu'il posa son visage tout près de celui de Keiko. Ses yeux se posèrent sur les siens, sa main posa celle de keiko sur son genoux. Il était tous les deux en train de se regarder assis sur les genoux. Simon sentit son coeur battre a toute allure puis il sa calma, approcha sa tete de celle de Keiko, sentit le souffle de celle ci sur son visage puis après un moment d'hesitation, il se laissa tomber dnas l'oublie et l'embrassa doucement, tel un baiser lent qui devait rester immortel.

* Quel folie...*

[XD tu l'as fait ! J'hésite encore à ce que Keiko te mette un poing dans la gueule ou s'enfuie en courant... ou peut-être que je la laisserai là.... Kyaaa trop dur de décider ! Les trois me tentent bien XD]

Simon se releva à son tour. Keiko ne tourna pas la tête, fixant obstinément ce qui se trouvait devant elle. Elle sentit le visage de Simon près du sien et, lentement, elle tourna son visage vers le jeune homme et le regarda dans les yeux.

Simon amena la main de Keiko sur son genou. Elle le laissa faire. Son coeur battait la chamade, elle avait le souffle court. Elle ne savait pas quoi faire, ni se que Simon s'apprétait à faire. Alors elle ne bougea pas, immobile, les yeux toujours rivés dans ceux de Simon.

Le visage du jeune homme s'approcha doucement tout près de Keiko, trop près . Les battement de son coeur s'accélérèrent mais elle ne bougea pas. Simon s'arrêta un instant, hésitant sans doute. Puis, doucement, leur lèvres se rencontrèrent.

Tétanisée, Keiko resta quelques dixièmes de secondes pétrifiée, hésitant à fuir en courant, à frapper Simon pour son audace ou au contraire à l'embrasser en retour... Elle ne connaissait Simon que depuis quelques jours, c'était seulement leur seconde rencontre et voilà qu'il l'embrassait. C'était trop tôt ! Et pourtant tellement agréable...

De toute façon, un baiser ne l'engageait à rien, ce n'était qu'un baiser, un simple baiser. Il suffisait juste de se laisser aller, rien qu'un instant, pour oublier ses problèmes.

Alors Keiko se détendit et, lentement répondit au baiser de Simon.

[t'as du bol ^^ je suis de bonne humeur aujourd'hui ]

[ Merci, tiens les balises marche enfin ainsi que les smyley ]

Simon eut un haut le coeur, Keiko avait repondu a son baiser. Il joua un peu avec sa langue. Il aurait voulu que se moment dure une eternité mais il ne se faisait pas d'illusion, un baiser n'engageait rien. Il se mit alors a regarder Keiko puis en une seconde, il eut un mouvement de recule, le baiser fut cessé et Simon était rouge. Il comprenait cette soudaine attirance, Keiko ressemblait a sa soeur, il avait tellement oublié le visage de celle ci qu'il n'avai pas compris pourquoi il aimait ce visage, ce dynamisme. Simon se replia et regarda Keiko, il ne le voyait pas mais il avait des larmes au yeux.

" Ah! excuse moi... c'était stupide, c'est vrai c'est stupide... je..."

Mais le oceurl e serrait tellement qu'il ne put finir sa phrase, il avait tellement honte, il avait l'impression d'avoi joué avec Keiko.

Durant un instant, Keiko oublia tout. Son père, Drake, son frère, tout passa à la trappe, aux oubliettes. Il n'y avait que ce baiser, lèvres contre lèvres et jeu de langues. Rien d'autre. Durant tout le baiser, Keiko ferma les yeux. Elle ne vit pas Simon la regarder et fut un peu surprise lorsque Simon eut un mouvement de recule. Leur lèvre s'écartèrent et le moment d'illusion était passé. Keiko rouvrit les yeux. Simon avait le rouge aux joues, elle aussi sans doute. Le jeune homme se replia soudain et regarda Keiko. Il avait les larmes aux yeux.

" Ah! excuse moi... c'était stupide, c'est vrai c'est stupide... je..."

Il ne termina pas sa phrase. Keiko ne comprenait pas. Pourquoi se mettait-il dans un état pareil ? Avait-elle fait quelque chose de mal ? Ce n'était qu'un baiser, après tout.

Décidément, les hommes étaient étranges. On n'arrivait jamais à les cerner vraiment.

Elle lui sourit gentiment et dit d'une voix douce :

- Eh, pas la peine de te mettre dans un état pareil, ce n'était qu'un baiser... tu n'as pas à t'excuser.

Elle sourit encore et plaça une main dans les cheveux de Simon avait de l'attirer à elle et de le prendre dans ses bras.

- Ce n'était qu'un baiser, rien de plus.

" Eh, pas la peine de te mettre dans un état pareil, ce n'était qu'un baiser... tu n'as pas à t'excuser."

* Encore heureux que c'était qu'un baiser...*

" Ce n'était qu'un baiser, rien de plus."

" Je suis désolé, je crois avoir fait une sorte de consolation psycologique, c'est difficile a dire. Je ne sais pas si..."

Simon regarda Keiko dansl es yeux puis enfouit sa tete dans son cou. Il ne voulait pas prendre Keiko pour un substitut de sa soeur, surtout pas, i ls'en voudrait a jamais sinon.

* Mais a quoi tu pensais sale cretin, et la elle doit se dire qu'elle a fait quelque chsoe de mal ou je ne sais quoi. Pourquoi il faut que je pense a elle, je croyais l'avoir oublier, je dois l'avoir oublier... oh Keiko...*

" Ce n'était qu'un baiser, rien de plus."

Sa voix résonna comme un écho dans sa tête. "Rien de plus..."

" Je suis désolé, je crois avoir fait une sorte de consolation psychologique, c'est difficile a dire. Je ne sais pas si..."

Keiko haussa un sourcil.

*Une consolation psychologique ?*

Elle n'y comprenait rien. Oh et puis ça n'avait pas d'importance.

Simon enfouit sa tête dans le cou de Keiko. La jeune fille ne savait pas quoi dire, pas quoi faire. Elle ne comprenait pas grand chose, à part que Simon n'avait pas l'air dans son assiette et avait visiblement besoin de tendresse.

Keiko n'était pas habituée à ce genre de calin réconfortant. Sa mère ne lui en avait jamais fait, gardant ses marques d'amour pour son frère jumeau. A l'époque elle aurait tout donné pour un calin, un sourire, un geste attendrissant de sa mère. Aujourd'hui, elle était morte, il était trop tard et Keiko s'en fichait pas mal de cette mère qui ne l'avait jamais aimée. Sa famille aujourd'hui, c'était ce pensionnat et elle donnerait tout son amour pour que ses pensionnaires vivent heureux.

Après un long moment, Keiko repoussa doucement Simon et le regarda dans les yeux. Elle sourit, passa une main sur la joue blanche du jeune homme et demanda :

- ça va ?

" Ca va ?"

" Oui ca va mieux, désoler d'être comme ca, c'est juste que je viens de repenser a quelque chose de très désagréable. J'aurais voulu l'oublier mais s'en est impossible jel e crains. Merci de ne pas m'avoir regardé comme un fou, je suis souvent comme ca, imprévisible. Keiko... j'ai une autre question qui me trottait dans ma tete comme ca... en fait, je crois que je n'arrive pas a comprendre cette situation que tu vis... Oh et puis vu où j'en suis, autant te la poser, comme ca tu auras enfinb l'occasion de me frapper.
Pourquoi deteste tu ton frère?"

Simon avait l'air etrange, son regard était posé sur le lit et la question avait eu un ton melancolique. Il savait bien que la, il passait pour un fou auprès de Keiko, sa aute d'humeur, le baiser et cette question, il se demandait quand il se prendrait un poing.

"Pourquoi detestes-tu ton frère?"

Elle ne s'attendait pas à ça. Vraiment pas. Pas du tout même. Son sourire retomba, son regard s'asombrit. Elle détourna les yeux pour ne plus regarder Simon. Pourquoi, pourquoi lui posait-il cette question ?!?!?

D'un bond elle se leva et se dirigea vers la porte. Elle l'ouvrit et attendit, un main toujours sur la poignée.

- Au revoir Simon.

Son ton était dur, froid. Elle n'avait pas envie de parler de ça, de sa vie. Cela ne le regardait pas. Il n'avait pas à se mêler de ses affaires. C'était SA vie.

Keiko attendit. Soudain les paroles de Simon lui revinrent en tête. "comme ça tu auras enfin l'occasion de me frapper." Elle n'en avait pas envie. Simon était sympa au fond. Sa question était juste indiscrète. Trop indiscrète. Il avait toucher un point sensible dans la vie de la jeune fille. Elle n'avait pas envie d'en parler.

" Au revoir? Non plutôt a bientôt... a très bientôt."

Simon eut un sourire bizarre puis se leva, alla vers la porte mais s'arréta un moment pour regarder Keiko. Il s'en doutait bien qu'elle ne voulait pas en parler. Mais c'était bien lui, il avait l'habitude de detruire ce qu'il aimait. Mais elle avait raison, il ferait mieux de partir pour l'instant, il avait besoin lu iaussi de reflechir. Simon pris juste le temp de dire quelque chose avant de partir:

" Si tu es incapable de supporter que ton père aime un homme, c'est que tu ne veut pas son bonheur, or je crois que c'est le contraire, ne laisse pas ton empathie prendre le dessus."

Simon partit lentement et se dirigea vers le hall. L'air pensif.

Keiko referma la porte et s'y adossa en poussant un long soupir. Puis, lentement, elle se laissa glisser jusque par terre et se mit en petite boule, la tête entre ses bras. Une larme coula le long de sa joue et mouilla son t-shirt. Elle n'y fit pas attention.

*Pourquoi... ?*

Elle renifla bruyament et releva la tête, posant son menton sur ses bras croisés.

*Pourquoi avait-il tout gaché ?*

Elle essuya ses larmes et se releva.

*Inutile de pleurnicher, j'ai lair de quoi maintenant ?*

Elle se dirigea vers son lit et s'y allongea.

*Heureusement que personne n'est là pour me voir dans cet état...*

Se retournant sur le côté, face au mur, elle s'endormit.

[j'ai posté le même message pour qu'on s'y retrouve]

[-> des couloirs et escaliers]

" Tu devrais ouvrir la porte, ça serait plus facile, tu ne crois pas ? "

Koyuki sursauta. Quel boulet il pouvait-être !

- Ah euh oui ^^' désolé...

Il plaça une main sur la poignée de la porte mais se retint juste à temps pour ne pas l'ouvrir.

- Vaut mieux frapper avant, on ne sait jamais...

Sur ces mots, il émit trois petits bruits secs et attendit patiemment que la porte s'ouvre.

" Au fait tu ne m'as pas dit comment s'appellait ta soeur ? "

Koyuki sursauta encore une fois.

- Désolé, elle s'appelle Keiko.

Ne percevant pas de réponse, il frappa à nouveau à la porte.

- Keiko t'es là ?

[ ok il y a pas de probleme et merci d'avoir fait aussi vite. ]

" Tu devrais ouvrir la porte, ça serait plus facile, tu ne crois pas ? "

- Ah euh oui ^^' désolé..."

Meïra attendit qu'il ouvre la porte comme elle l'avait suggeré, mais elle avait l'impression qu'il hésitait.

" Vaut mieux frapper avant, on ne sait jamais..."

Koyuki frappa trois coups à la porte et ils attendirent une reponse, elle s'aperçut alors qu'elle ne connaissait pas le nom de sa future colocataire.

" Au fait tu ne m'as pas dit comment s'appellait ta soeur ? "

- Désolé, elle s'appelle Keiko."

Meira avait l'impression qu'elle le gênait avec ses questions, plus elle en posait et moins il avait l'air à l'aise. Il frappa de nouveau, trois coups à la porte.Personne ne semblait repondre, elle était peut-être sortie.

" Keiko t'es là ?

- Peut-être qu'on devrait quand même entrer. Elle est peut-être sorti."

Meira se demandait si sa suggestion n'allait pas encore le mettre mal à l'aise, elle devait faire plus attention à ce qu'elle disait.

Keiko s'éveilla en sursaut. Elle avait entendu du bruit. Elle tendit quelques minutes l'oreille mais n'entendit rien alors elle referma les yeux.

Quelques secondes à peine plus tard, trois petits coups secs retentirent à sa porte. Là, elle avait bien entendu. Elle se leva d'un bond.

"Keiko t'es là ?"

Aucun doute, c'était la voix de son frère. Mais qu'est-ce qu'il pouvait bien faire ici ???

Elle se recoiffa d'une main, sachant pertinement qu'après une sieste,elle avait toujours les cheveux en pétard, puis se tapa les joue pour se redonner des couleurs et ouvrit la porte d'une volée.

Elle s'apprétait à faire une remarque cinglante au pauvre Koyuki quand elle apperçu à côté de lui une jeune fille et un chien. Surement une nouvelle que son frère avait apporté. Bon, elle laisserait tomber ses remarques et tacherait d'être courtoise même si son frère était là.

Elle se tourna de suite vers la jeune fille.

- Salut ! Moi c'est Keiko ! Nouvelle arrivante à ce que je vois ^^ Entre.

Elle s'autorisa un sourire et laissa la place pour passer.